COMMUNIQUÉ DE PRESSE DE L'INRA
Les chercheurs de l’Inra montrent aujourd’hui que l’exposition chronique et indirecte à une dose très faible d’un pesticide néonicotinoïde, ainsi que l'infection par un parasite commun des abeilles, affecte très fortement la survie des reines en conditions naturelles et modifie leur physiologie. L’interaction entre l’imidaclopride et Nosema ceranae est encore plus néfaste sur les reines que chaque stress pris séparément. Ces résultats sont publiés le 31 août 2016 dans Scientific Reports. Suivre le lien